Exposition fermée

« Voici l’homme » est le titre choisi par le peintre Marcel Hasquin pour l’Ensemble de 15 tableaux exposés dans l’église Saint Martin d’Aubigny-sur-Nère. Cette série est exposée depuis 2023 pour la seconde fois, la première exposition ayant eu lieu en 2006 à l’église de la Madeleine à Paris. 

Patrice Garnier de la Galerie d'art de Chavignol à propos du travail de Marcel: 
« Ténèbres, mot terrible, mais qui renvoie à la lumière et à l'univers des peintres : du clair-obscur du Caravage, ou des noirs-lumières de Soulage, jusqu'à l'œuvre de Marcel Hasquin où ténèbres et lumière se manifestent avec une intensité dramatique : pas de ciel, pas de perspectives, mais cernés d'un trait continu, des corps irradiés d'une lumière spirituelle intense. ... Marcel ne serait-il pas un simple pèlerin, témoin de la passion, marqué par les stigmates de cette rencontre et qui reproduit son expérience spirituelle dans une sorte de tradition renouvelée des retables des peintres flamands ? »

Chaque visiteur est invité à se laisser porter par le trait et les couleurs de Marcel Hasquin, à s’attarder devant chaque tableau dont l’éclairage varie en fonction de la lumière du jour.

Youtube à propos de l'exposition commune Marcel Hasquin - Marc Petit ; 
Site sur Marcel Hasquin ; 
Entretien de Marcel Hasquin avec la critique Jeanine Rivais 
Marcel Hasquin préparant l'exposition commune à L'UNESCO avec Akeji et Rachid Koraïchi

Chanter le répertoire de la Renaissance dans la chapelle du château de La Verrerie
a été une expérience unique du fait de l'harmonie entre la musique et les fresques
et de la qualité exceptionnelle de l'acoustique du lieu.

Le jeune Ensemble vocal Victoria nous a fait le bonheur et l'élévation d'entendre des œuvres de Giovanni Pierluigi da Palestrina, Tomás Luis de Victoria, JS Bach, Loyset Compère, Max Reger et de Benoît Dugas (né en 1973).

de gauche à droite : Mona Rossi, Ilyès Bouyenzar, Alice Pattonieri, Matthias Lakits et Benoît Dugas

Après les danses gracieuses des jeunes si élégamment vêtus de la Sabotée Sancerroise dans le cadre exquis de la cour de l'ancienne école, les musiciennes du Scottish Fish ont emporté le public par leur musique émouvante et entrainante.

Ce "band" venu spécialement des USA, Boston, a été acclamé par le public surpris par la qualité et enthousiasmé par leur jeu musical.

Le Festival de Boucard Haut-Berry a été très  fier et heureux de s'associer à la Sabotée Sancerroise, le groupe folklorique particulièrement dynamique qui perpétue les traditions du Haut-Berry. L'association basée à Chavignol a plus de 100 membres actifs dont 40 enfants et 15 musiciens. Son répertoire est vaste puisque composé d’une cinquantaine de morceaux joués et dansés, principalement des bourrées à 3 temps, caractéristiques de notre région. L'association fondée en 1955 a aussi sauvé une série remarquable de costumes anciens.

Photo Pierre Mérat

Après les acclamations du public de Chavignol, nous avons accueilli une seconde fois ce jeune ensemble formé par 5 jeunes musiciennes venues spécialement de Boston, USA, dans le cadre du partenariat avec "Le Château des Stuart en fête" (Journées Franco-Écossaises d'Aubigny repensées du fait des J.O.) et le Château de La Verrerie.

C'est vraiment un nouveau regard sur la musique écossaise traditionnelle que ces 5 jeunes femmes de Boston ont apporté comme l'ont montré les acclamations des 300 personnes présentes le 14 juillet.

Grâce au Festival de Boucard qui a eu l'idée de proposer à cet Ensemble de venir en Europe, le  "Scottish Fish band" s'est produit aussi en juin et juillet aux Highland Games Innerschweiz, Festival 12 et The ONO en Suisse ; au Festival Celtica Valle d'Aosta en Italie ; aux Festival de Oritgueira, Alkantara Festival et Festival Cantabria Infinita en Espagne ; et au Festival des Cultures du Monde à Gannat en France.

La critique est unanime : le quatuor Tchalik est une véritable pépite !  

Et, après qu'ils aient joué admirablement les quatuors Rosemonde de Schubert et Hoffmeister de Mozart, les Tchalik nous ont fait découvrir d'autres talents en mettant au monde les extraterrestres imaginés par Fabien Waksman. Si l'œuvre de F Waksman s'intitule "Les Voix de l'indicible", les Tchalik sont devenus les "les Voies de l'indicible" pour tout le public profondément enchanté.

Clip du Quatuor Tchalik - Ravel

le pianiste Jacky Terrasson, avec le batteur Lukmil Perez et le contrebassiste Sylvain Romano, a confirmé ce qu'écrivait le New York Times dès 1994 en le présentant comme "l'un des trente artistes susceptibles de changer la culture américaine dans les trente prochaines années",

Le Trio nous a entrainé dans un grand voyage musical dans le temps et l'espace dans une harmonie parfaite entre eux trois dans cette salle si bien adaptée de La Forge. 

Photo par Pascal Rousse

« Beauté barbare » a vraiment été énergie intemporelle, poétique, finement colorée et totalement jubilatoire à partir des inspirations de Telemann venues de Pologne et d'autres pays d'alentour. Le public a été enchanté et émerveillé par ce concert très original : musique, danse d'Helena Bregar et instruments comme le cymbalum ou le zarb.

A aller réécouter grâce à L'Automne Baroque de Bourges

Avec :
Helena Bregar, chant et danse
François Lazarevitch : flûte traversière, frula, fluier, cornemuses & direction
Petr Ruzicka & Amaryllis Billet : violons
Manon Papasergio, violoncelle
Iurie Morar: cymbalum
Pierre Rigopoulos: zarb, davoul & percussion

Un concert exceptionnel dans un cadre toujours aussi beau où la jeune et très talentueuse violoniste Raphaëlle Moreau a montré une maitrise incomparable du violon et partagé ses émotions musicales avec un public émerveillé de cette découverte.

Raphaëlle était accompagnée au piano par Maxence Pilchen que le public du Festival avait acclamé en 2023 pour son interprétation de Chopin et qui a montré sa finesse, son sens de l'écoute et donc son talent.

Programme :

Mozart : Sonate en mi mineur n°21
Beethoven : Sonate en fa majeur n° 5 « Le Printemps »
Saint-Saëns : Introduction et Rondo capriccioso en la mineur op. 28  
Ravel : Sonate en sol majeur M.77

en collaboration avec CREZANSWING

Un concert OFF très coloré par le Trio à cordes Artefacts - Elise Retuerto (violon), Orane Murail (alto), Aurélie Groisil (violoncelle) - qui a permis des aller-retour entre musique savante et musique populaire. Le public a découvert le magnifique Trio de Jean Cras (1879 - 1932) ainsi que des œuvres traditionnelles ou anciennes.   

L'église du Noyer était le cadre approprié avec son charme particulier et familier.

Réservations sur Yapla ou sur la page "Réserver"

Programme : Silent night, Noëls du monde entier

Arianna Savall Figueras, harpiste et soprano, est la fille de l'illustre couple : Jordi Savall, gambiste, chef d'orchestre (souvenez vous du film "Tous les Matins du Monde")  et Montserrat Figueras, cantatrice.

Il y a quinze ans en 2009 avec ténor norvégien de renom et altiste, Petter Udland Johansen,  Arianna Savall fonde le groupe "Hirundo Maris" ce qui veut dire : Hirondelle de mer. Comme cet oiseau migrateur, Hirundo Maris retrace les routes à travers les mers et la musique reliant la Scandinavie à la péninsule ibérique depuis les temps immémoriaux. L'Ensemble est spécialisé dans la musique ancienne du Moyen-Âge au Baroque. Il explore les traditions musicales méditerranéennes et nordiques via ses propres compositions.

Hirundo Maris, c’est aussi une science des timbres et des voix que les instruments convoqués nuancent avec bonheur: harpe triple, cistre, mandoline, et hardingfele (violon populaire aux incrustations délicates).

Les artistes nous invitent donc à un voyage sonore dans le monde merveilleux et séculaire de la musique hivernale, de l'Avent à Noël.

Chaque pays possède ses propres traditions de Noël et son propre trésor de chants de Noël. Les musiciens convoqueront les plus beaux chantes de Noël de leurs pays d'origine: Norvège, Angleterre, Allemagne, Pologne, Espagne, Catalogne et bien sûr la France.

Comme me dit si bien Arianna : "Le chant est l'une des meilleures manières de rassembler les gens. Il est extrêmement spirituel. Il n'est pas palpable, mais nous le ressentons tous profondément dans nos cœurs."